L’exposition focalise sur la représentation par Fernand Léger de l’homme dans la première moitié du 20 siècle à travers une quarantaine de peintures et une cinquantaine œuvres graphiques entre 1905 et 1955. Fernand Léger était absorbée par le rôle de l’homme dans l’ère moderne et l’amélioration des conditions générales de la vie. Le rythme des grandes villes, le mécanique, les portraits féminins, l’être humain en tant que forme, le théâtre, la danse et la scénographe…  Le scintillement des enseignes publicitaires à New York auront une influence importante dans son œuvre. Le traitement de la couleur indépendante et détaché par rapport au sujet. Cette anecdote est directement transcrite dans la scénographie de l’exposition en traitant un couloir vitré avec des aplats de couleurs primaires. La lumière coloré est  projeté sur les murs, le sol et sur les visiteurs traversant le couloir.